« Les produits de Symbiopôle sont d’un bon rapport qualité/prix et limitent les coûts vétérinaires. Le troupeau et l’éleveur doivent se caler ensemble pour gagner en sérénité dans le temps. »

M et Mme Maréchal, éleveurs de vaches allaitantes et de moutons à Vievy (Côte d’or) : « Symbiopôle nous a aidés à changer notre façon de travailler »

« Les produits de Symbiopôle permettent de travailler sur le préventif et évitent de devoir jeter le lait en cas de traitement. Ces produits à base de plantes et d’huiles essentielles fonctionnent parfaitement »

Christine et Loïc, Ferme de l’Etang du Roy à Voulaines les Templiers (Côte d’or) : « Travailler sur le préventif »

Jérôme et Jacqueline Beaudouin sont éleveurs de 54 vaches Montbéliarde à Saint M’Hervé (Ille et Vilaine). « Plusieurs raisons m’ont incité à utiliser des produits de Symbiopôle », explique Jérôme Beaudoin : des signes extérieurs me faisaient dire que mes vaches n’allaient pas bien. Elles refusaient de brouter certaines pâtures, et elles ne produisaient que 26 à 27 litres pour une ration calculée à 28 /29 litres. Par ailleurs, le poil des vaches était piqué, et d’autres signes extérieurs montraient la présence de paramphistomes ».

Suite à l’utilisation du Soluphyt PAE, la montée en lait après vêlage s’est faite plus rapidement.

« Nous avons amélioré notre production laitière qui est passée de 26 à 28 litres par vache et par jour », ajoute l’éleveur. Ce dernier, suite à l’utilisation d’un minéral organique type Phytotonic adapté au troupeau, a vu la qualité des robes de ses vaches s’ améliorer.

Enfin, la distribution de 150 g de Gestirumitop le dernier mois de la gestation, un minéral organique, a fait baisser de façon importante les problèmes de diarrhées sur les veaux. « Les vêlage se passent mieux, nous avons plus de sérénité pendant ces périodes de vêlage », commente Jérôme.

M et Mme Beaudoin, éleveurs de 54 vaches Montbéliarde : Plus de lait pour les vaches et moins de diarrhées sur les veaux

Les 60 vaches laitières Montbéliarde sont conduites sur 220 ha et produisent en moyenne 4 800 litres de lait/vache.

Antoine Berthoux nous explique comment il travaille avec Symbiopôle :« Plusieurs années de collaboration avec Symbiopôle ont permis de régler un ensemble de problèmes sanitaires sur l’élevage passé en bio depuis 2010. Avec les Soluphyt, j’ai pu réguler le problème du paramphistome, ce qui a eu pour effet de renforcer l’état général de mon troupeau. Je traite l’ensemble de mon cheptel deux fois par an et ne rencontre plus aucun problème de ce genre.

Je voulais également traiter l’immunité générale de mon troupeau (solution vermifuge et problème de piqueurs, mouches, etc..). Avec des cures régulières de Phytopacure, je gère la partie vermifuge qui n’est plus un problème pour moi. L’utilisation du Préfica m’a permis de pouvoir régler la partie des piqueurs sans que cela altère le goût de mon lait bien que le produit comporte, entre-autre, de l’ail.

Etant fabricant de produits laitiers, je ne peux me permettre d’utiliser des produits et traitement qui pourraient altérer le goût de mon lait. J’utilise les produits Symbiopôle depuis de nombreuses années et ne sollicite plus mon vétérinaire que pour des aides au vêlage. Mon vétérinaire passe toujours me voir régulièrement mais c’est désormais pour m’acheter mes produits !

L’utilisation des produits Symbiopôle me permet de proposer des produits sains, sans antibiotique tout en respectant le bien-être animal dont on entend si souvent parler. Une vache en bonne santé et sans traitement antibiotique me permet de produire un lait de qualité qui se travaille facilement et simplement. »

Antoine et Béatrice Berthoux, éleveurs laitiers à Créancey (Côte d’Or) : « Produire un lait de qualité »

La ferme de l’abbaye de la Pierre-qui-Vire, la première à être passée en bio dans le département de Côte d’Or en 1969, travaille avec les produits de Symbiopôle depuis sa création en 1994, année qui correspond à l’arrivée de Philippe Abrahamse comme responsable d’exploitation.

Située sur les terres pauvres granitiques du Morvan, l’exploitation compte 170 ha (dont 150 ha de prairies), un cheptel de 80 vaches laitières de race Brune auquel s’est ajouté en 1994 un cheptel de 80 chèvres alpines chamoisées produisant 35 à 40 000 litres de lait par an. L’atelier chèvre a depuis été supprimé sur l’exploitation. Sur environ 450 000 litres de lait par an produits par les vaches, 300 000 litres sont transformés sur place en fromages, le reste étant vendu à Biolait, premier collecteur de lait bio en France.

L’une des clés de la conduite de l’élevage est une gestion optimale des prairies, l’objectif étant de produire du lait à moindre coût en gardant les vaches le plus longtemps possible.

Les prairies sont à base de mélanges suisses, association de graminées et de légumineuses introduite par les moines de l’abbaye, et l’investissement en 2016 dans une installation de séchage en grange permet de produire un foin d’excellente qualité constituant la ration de base des animaux. A cette ration de base qui couvre 15 à 16 kg de lait s’ajoute un concentré fabriqué sur place (mélange de céréales + triticale + pois) et distribué en libre-service par des distributeurs automatiques.

En quoi l’offre de Symbiopôle vous a t-elle été utile ?

Une attention particulière est apportée à la complémentation minérale, cette dernière étant mélangée au concentré. Nous achetons à Symbiopôle un complexe minéral adapté aux sols granitiques déficitaires en calcium. Ce complexe minéral se compose de différentes plantes minéralisantes telles que l’ortie ou la prêle et chaque vache en reçoit 25 à 50 g/j. Une vache bien nourrie est capable de se défendre contre les pathogènes et il faut faire davantage confiance à la nature, résume Philippe Abrahamse qui vise simplification du travail et bien- être des animaux.

Avec une telle alimentation, les vaches produisent 5 à 6 000 litres de lait/an, l’objectif étant de leur faire faire un veau par an et au moins cinq lactations. Nous sommes confrontés à un problème récurrent de parasitisme, que ce soit sur les vaches laitières ou les chèvres et les solutions naturelles proposées par Symbiopôle les aident à se défendre contre les parasites.

Philippe Abrahamse (Ferme de l’abbaye de la Pierre-qui-Vire) : « Faire davantage confiance à la nature »

Installé fin 2011 à l’âge de 21 ans sur la commune de Marcilly-et-Dracy (Côte d’Or), Romain Cortot a été confronté dès l’automne 2016 à d’importantes pertes sur son troupeau de vaches Salers. Il nous explique comment les solutions nutritionnelles naturelles de Symbiopôle lui ont permis de s’en sortir.

« La structure de l’élevage familial ne me permettant pas de m’installer, je décide fin 2011 de démarrer un élevage Salers dans des conditions idéales, les 55 vaches ayant à leur disposition une parcelle de de prairies naturelles de 75 ha d’un seul tenant en coteaux. L’élevage est conduit en plein air pour une production de broutards de 350 kg et avec une philosophie proche du bio et avec le minimum d’interventions sur les animaux conduits de façon autonome.

Deux hivers successifs de 2016 à 2018 ont été marqués par un dépérissement progressif du troupeau, avec des mortalités par paquets. Après un pic de mortalité à la mi-mars 2018 (quatre vaches en une nuit), j’ai fait appel à Symbiopôle qui a mis à la disposition des animaux un minéral riche en plantes micronisées susceptible de participer à l’équilibre du microbiote digestif, suivie d’une reprise significative des animaux (les vaches ayant repris au moins 150 kg à la fin mai).

Si je n’avais pas rencontré Symbiopôle, je n’aurais plus de vaches aujourd’hui. Le troupeau a progressivement remonté la pente depuis janvier 2019.

Je continue à utiliser plusieurs produits de Symbiopôle pour renforcer l’état général du troupeau, notamment en présence de parasites comme le paramphistome. Ce dernier est en développement sur tout le territoire depuis plusieurs années et s’attaque au rumen, l’organe central du ruminant. En touchant le rumen, ce parasite touche au fonctionnement de l’ensemble du métabolisme et à l’immunité du troupeau.

Je peux dorénavant me projeter dans l’avenir et l’offre large et à la carte de Symbiopôle m’aide à atteindre mon objectif de production d’une viande de qualité sans aucun produit chimique et répondant aux attentes gustatives des consommateurs.

Romain Cortot, éleveur de 55 vaches Salers en Côte d’Or : «Une plus-value pour mes animaux »

Isabelle et Gérard Cavaillé conduisent un troupeau itinérant de 300 brebis de race Est à laine Mérinos sur douze communes de deux départements (Côte d’Or et Saône-et-Loire). Isabelle nous raconte comment sa rencontre avec Symbiopôle début 2018 a amélioré l’état général du troupeau et sa conduite.

« La particularité de notre élevage est d’être itinérant sur des prairies communales dans un rayon d’environ 10 km autour de Nantoux, petite commune entourée de vignes où se situe le seul bâtiment de l’élevage où se déroulent les agnelages. Sur 600 à 700 agneaux produits par an, une centaine est gardée pour la reproduction, l’essentiel étant vendu en maigre en septembre. Les brebis sont conduites toute l’année sur différents terrains communaux : sur la côte de Nuit de janvier à fin avril, autour de Nantoux de fin avril à mi-octobre, puis sur des prairies du Conservatoire des Espaces Naturels du Val de Saône de mi-octobre à janvier.

Lorsque j’ai rejoint mon mari sur l’élevage en 2014, la conduite sanitaire du troupeau était marquée par des traitements permanents qui nécessitaient des manipulations stressantes des brebis et de leurs agneaux. Nos brebis étaient devenues à la longue farouches, tristounettes, fatiguées, et nous avions des pertes d’animaux.

La rencontre début 2018 avec Symbiopôle nous a ouvert les yeux. Nous avons supprimé les traitements et les manipulations permanentes sur les animaux pour les remplacer par plusieurs solutions naturelles, notamment pour la gestion parasitaire et la préparation à l’agnelage. Au bout d’un an, l’état général des brebis s’est amélioré, leur laine est devenue de meilleure qualité, avec de meilleures conditions d’agnelage et moins de pertes de brebis. Au final, les brebis étaient non seulement plus calmes mais en bon état toute l’année. En résumé, nous sommes parvenus à trouver un équilibre de notre troupeau qui se régule lui-même et valorise mieux son alimentation. »

Isabelle et Gérard Cavaillé (SCEA Ovins des Grands Crus) : « Des brebis en état toute l’année »

« Gilles Morel, un ami éleveur qui est distributeur des produits Symbiopôle pour la Côte d ‘Or, m’a accompagné sur le plan technique dès mon installation car j’étais novice dans le mouton », explique Vincent Bizouard qui utilise l’ensemble de la gamme moutons de Symbiopôle, de la préparation à l’agnelage à l’engraissement des agneaux. « Je ne réalise aucun traitement chimique sur mes animaux et évite ainsi les multiples contentions source de stress », précise l’éleveur qui est seul sur l’exploitation et qui insiste sur la prévention et l’observation de ses animaux. Ce dernier souligne l’importance d’une complémentation minérale continue des brebis et des agneaux et sur la gestion du parasitisme, avec la mise au disposition au pré de plusieurs produits complémentaires de gestion parasitaire.

« Ce sont les brebis qui choisissent », remarque Vincent qui vise ainsi l’équilibre et le bien-être de son troupeau, sans oublier la qualité de la viande de ses agneaux dont 100 à 150 animaux/an sont vendus en direct à des particuliers ou des épiceries bio de Dijon.

Vincent Bizouard, éleveur de 300 brebis à Pouilly-en-Auxois (Côte d’Or) : « Viser le bien-être de mes animaux »
Pierre Bubourq, fondateur de Symbiopôle

« Symbiopôle signifie symbiose des Pôles, ou en d’autres termes la conciliation entre qualité et quantité (la quantité étant apportée par la génétique et la qualité recouvrant ce qu’on met à disposition de l’animal). La démarche de Symbiopôle est historiquement empirique, basée sur plusieurs décennies d’applications terrain et d’observations.

Nos produits naissent de la nécessité de trouver des solutions à des problèmes rencontrés par les éleveurs sur leur troupeau. La prise en compte et la compréhension du contexte de chaque élevage est la première étape fondamentale de la démarche de Symbiopôle, pour mettre en lumière la hiérarchie des problématiques rencontrées et proposer un chemin technique et des solutions adaptées à chaque élevage».

Pierre Bubourq, fondateur de Symbiopôle
Pierre Dubourq, fondateur de Symbiopôle : « Des solutions adaptées à chaque élevage »